samedi 4 août 2018

A vrai dire 
Je ne sais pas vraiment 
si tes silences 
Sont remplis de cette douceur 
Intense, 
Ou si ce sont tes paroles 
Qui me lient dans cette fragile 
Existence...

À ton sourire bordé de tes rires,
J'ai chaviré dans un espace 
Aux confins de ton infinie beauté... 
C'est à ce moment là, 
Que j'ai senti, 
À l'intérieur de ton regard, 
Que j'existais enfin... 

Je suis né alors 
d'une de tes caresses à l'âme, 
Libre de ressentir ce frisson 
Si doux parcourir mon dos...
Comme les prémisses 
d'une belle histoire 
où nos souffles s'entremêlent 
Dans un ballet silencieux... 

C'est un peu comme si 
Je n'avais existé 
que pour ce moment là...
C'est un peu comme un vertige,
Le soir d'une nuit d'été, 
Ta main dans ma main, 
Me nourrir de ces souvenirs, 
Et en créer de nouveaux, 
Pour faire de ma vie, 
Un refuge sculpté par nos désirs...

Nul endroit loin de toi, 
Ne saurait me détourner 
De ton sourire, 
Vivre libre,  
en dehors de tes bras 
Est une prison faite des barreaux 
De ton absence, 
Alors je ferme les yeux 
Et me projette non loin de l'horizon, 
Près de toi, 
En tes bras, créer la beauté 
De nos instants d'autrefois... 

Clip surprise,  cliquez ci dessous :

https://youtu.be/7WsoeQjJzRY

Jean poète de maintenant

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