A vrai dire
Je ne sais pas vraiment
si tes silences
Sont remplis de cette douceur
Intense,
Ou si ce sont tes paroles
Qui me lient dans cette fragile
Existence...
À ton sourire bordé de tes rires,
J'ai chaviré dans un espace
Aux confins de ton infinie beauté...
C'est à ce moment là,
Que j'ai senti,
À l'intérieur de ton regard,
Que j'existais enfin...
Je suis né alors
d'une de tes caresses à l'âme,
Libre de ressentir ce frisson
Si doux parcourir mon dos...
Comme les prémisses
d'une belle histoire
où nos souffles s'entremêlent
Dans un ballet silencieux...
C'est un peu comme si
Je n'avais existé
que pour ce moment là...
C'est un peu comme un vertige,
Le soir d'une nuit d'été,
Ta main dans ma main,
Me nourrir de ces souvenirs,
Et en créer de nouveaux,
Pour faire de ma vie,
Un refuge sculpté par nos désirs...
Nul endroit loin de toi,
Ne saurait me détourner
De ton sourire,
Vivre libre,
en dehors de tes bras
Est une prison faite des barreaux
De ton absence,
Alors je ferme les yeux
Et me projette non loin de l'horizon,
Près de toi,
En tes bras, créer la beauté
De nos instants d'autrefois...
Clip surprise, cliquez ci dessous :
https://youtu.be/7WsoeQjJzRY
Jean poète de maintenant
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire